Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
Equipés, financés et entretenus par l'Etat Islamique, ces hommes dirigent un puissant service de propagande. Spectateurs privilégiés de l'organisation terroriste État Islamique, ces caméramen voient tout, filment tout : les combats, les exécutions, les camps d'entraînement et les tortures mais aussi la vie quotidienne de l'Etat Islamique. A travers leurs vidéos, ils magnifient l'Etat Islamique et lui donnent une légitimité.
De la Turquie à la France, les démocraties doivent faire face aux menaces terroristes. Ce documentaire relate trois histoires liées à ce fléau contemporain.
Pendant 10 ans, l’Amiral Flohic a été aide de camp du général de Gaulle, alors président de la République française. Témoin privilégié, il raconte quelques-uns des événements historiques qu’il a vécus : les réceptions d’Adenauer et de Kennedy, le « Québec libre », l’expédition-surprise à Baden-Baden en mai 68, la démission du général après le referendum de 1969, le dernier voyage en Irlande…
Jusqu'en 1914, la peinture reste l'outil de propagande le plus fiable pour l'armée française. Ce sont d'ailleurs à des peintres que l'on confie d'abord la tâche de montrer la guerre en images. Quand la Première Guerre mondiale débute, les Allemands innovent en créant un service photographique. En prenant le contrôle des images de guerre, ils vont inciter la France à se battre à son tour sur ce terrain de la représentation du conflit.
Le Général a prononcé des dizaines de discours, répondu à des centaines de questions, couvert des milliers de pages de son écriture, laissé treize tomes de correspondance, et malgré tout, il reste une énigme. Ce film demeure aux yeux de la famille, l'ultime témoignage qu'ils souhaitent laisser aux prochaines générations.
Ils sont arrivés d'un peu partout (France, Chine, Russie, Espagne). Ils sont venus aider les kurdes qui résistent aux assauts de Daech dans le Kurdistan syrien. Grégoire Deniau (prix Albert Londres 2005) filme au plus près ces idéalistes, pas forcément combattants, qui ont trouvé dans ces étendues hostiles un sens à leur vie, en participant à la résistance à l'extension du califat de l'état islamique.
